Rédigé par Néven Brichet
Temps de lecture : 6 minutes
Une intervenante s’est prêtée au jeu de l’interview afin de vous faire bénéficier de son expérience chez IBC. Pour rappel, un.e intervenant.e est un.e étudiant.e, encadré.e par un.e chef.fe de projet, qui réalise des missions pour les entreprises clientes d’IAE Bordeaux Consulting. Voici son témoignage :
Présentation
Néven : Bonjour Marie, est-ce que tu peux commencer par te présenter ?
Marie : Bonjour, je m’appelle Marie et je suis étudiante à l’IAE. Je suis en deuxième année de Master Commercial Business Développer en alternance. Je suis aussi intervenante chez IBC.
Néven : Combien as-tu fait de missions en tant qu’intervenante ?
Marie : Je réalise actuellement ma première mission.
La candidature
Néven : Les missions sont-elles à réaliser en groupe ou seules ? Et combien durent elles ?
Marie : Pour ma mission je suis dans une équipe de 3 : 2 intervenantes et 1 cheffe de projet. J’ai commencé ma mission mi-octobre et elle devrait se terminer mi-janvier (au lieu de mi-février).
Néven : Pourquoi as-tu voulu intégrer IBC en tant qu’intervenante ?
Marie : Je voulais améliorer mon CV avec une expérience en plus. Le concept de Junior-Entreprise m’intéressant car je n’avais jamais participé à ce genre d’association. Je voulais surtout aussi mettre en pratique ce que j’apprenais pendant le master et compléter l’alternance, voir ce que je pouvais en plus apporter à l’entreprise.
Néven : Avais-tu candidaté en tant que membre gestionnaire ?
Marie : Non, car membre gestionnaire je craignais de ne pas réussir à tout concilier avec l’alternance. Je me suis dit qu’être intervenante pouvait être un bon juste milieu.
La mission
Néven : La mission sur laquelle tu travailles, est-elle en rapport avec ta formation à L’IAE ?
Marie : C’était de l’analyse de questionnaire de satisfaction. J’avais déjà réalisé ce sujet en cours. J’avais un peu les bases et déjà légèrement travailler sur le logiciel mais il y a toujours des imprévus et des surprises sur un domaine que tu ne maitrises pas à 100%. Personnellement, c’est pour cette raison que j’ai intégré la Junior-Entreprise, c’était pour apprendre et approfondir mes connaissances.
Néven : Comment se déroule une mission « type » ?
Marie : On a commencé par réaliser un planning rétrospectif avec les membres et la responsable de l’étude. Elle nous a expliqué les objectifs de l’étude avec la deadline. Pour le coup c’était un peu particulier car la deadline a été raccourcie d’à peu près un mois. C’était un peu plus intense. On devait donner les objectifs pour mi-février et faire un planning récapitulatif par période et de ce que l’on attend, par exemple, quelle étape doit être terminée à quelle période. On a fait plusieurs réunions hebdomadaires pour lancer l’étude, obtenir les informations qu’ils manquaient. La responsable de mission a été très disponible et à l’écoute car elle nous a bien encadrées en disant qu’il ne fallait pas que l’on hésite si l’on avait des questions et incertitudes. Ce qui était bien, c’était qu’à chaque petite réunion, on avait un compte rendu à la fin, donc on avait un élément à se rattacher en cas de questions. Et on avait un groupe de conversation pour échanger sur nos points de blocages ou nos questions. Et bien sûr, on s’est réparti les tâches. Le principal de ta mission est fait par toi-même, mais on demandait toujours aux autres leurs avis pour avoir la vision des personnes avec qui tu travailles.
Néven : Penses-tu avoir gagné en expérience professionnelle ?
Marie : Oui, j’ai gagné en confiance. Et puis je savais que j’avais des choses à apprendre. J’ai une base mais je voulais me rassurer sur ce que j’étais capable de faire. Et jusqu’ici tout se déroule bien, ça rassure sur les compétences que tu as et sur celle que tu es en train d’acquérir.
Néven : Quels types de matériels/logiciels utilises-tu pour réaliser ta mission ?
Marie : Alors on nous a donné des accès à un logiciel qui s’appelle Sphynx, ça c’est l’entreprise pour laquelle on travaille qui nous l’a mis à disposition car on ne pouvait pas analyser les fichiers sans ce logiciel. On s’est retrouvé à le faire en ligne car le logiciel n’est pas compatible avec les ordinateurs Apple. Donc on nous a mis un outil à disposition, mais finalement le site internet était tout aussi bien.
L’avantage d’être intervenant.e
Néven : Tu as trouvé ton alternance avant d’intégrer IBC, mais penses-tu qu’être intervenant.e puisse aider à trouver une alternance ou un stage ?
Marie : Oui je le pense parce que ça t’ajoute un point de différenciation par rapport à d’autres candidats car ils n’auront pas tous fait partie d’une JE. Et puis, tu as vraiment matière à développer une expérience concrète à ton CV et surtout quelque chose qui est en lien avec les études que tu mènes. Ça apporte de la cohérence à ton CV et aussi une motivation auprès des recruteurs.
Néven : As-tu réussi à mettre en avant ton expérience d’intervenante dans ton CV ?
Marie : Je ne me suis pas encore posé la question. Mais c’est réellement une expérience professionnelle donc ça a sa place dans cette partie là du CV. Cette expérience doit être mise en valeur pour qu’elle soit vue par le recruteur.
Néven : les missions t’ont-elles permis de rencontrer de nouvelles personnes et ainsi augmenter ton réseau ?
Marie : Non justement, car je connaissais déjà la responsable de mission et je travaillais avec une fille de ma classe. Mais ce n’est pas très grave.
Néven : As-tu pu participer à des évènements organisés par IBC ?
Marie : Oui, j’ai fait 2-3 afterworks et c’était sympa. J’ai aussi participé aux 10 ans de IBC. Et pour le coup, ce qui était intéressant, d’autres JE étaient aussi conviées. Là-bas j’ai retrouvé une famille de ma classe qui est dans une autre JE, mais on a pu échanger avec d’autres personnes à propos de différents sujets comme comment se déroule leur JE, et en apprendre davantage sur cet univers là. C’est ce qu’a pu m’apporter en plus les évènements IBC.
Néven : 1 mot pour décrire ton expérience d’intervenantes.
Marie : Flexibilité, avec mon binôme on a dû faire quelques réarrangements dans notre planning. Et dans tous les cas on n’a rien à perdre, on a juste tout à gagner !
Toi aussi tu peux devenir intervenant.e
Si comme Marie tu souhaites intégrer une équipe jeune et dynamique en quête d’expérience, alors n’hésites plus, et intègre IBC !